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il y a 1 an
Chapitre 112 : Le contrat
C’était bien la peine de se cacher pendant les deux séances pour se dévoiler cinq minutes avant la fin, pensai-je.
- Je le savais, je l’avais reconnue, s’exclama Nathalie. Je te l’avais dit, ajouta-t-elle à l’intention de sa copine.
Valérie confirma ses dires et son sens de la déduction.
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Elle me soutenait que c’était vous. Elle a reconnu votre style, vos expressions, la façon dont vous nous guidiez dès la première séance, très professorale. Elle trouvait même un truc dans votre voix et même votre attitude en cours depuis le lui confirmaient.
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Et Ladyscar se doutait que tu savais, ajoutai-je à Nathalie.
Je ne savais pas pourquoi j’avais dit cela. Peut-être qu’à nouveau je prenais la défense de ma maîtresse à la voir dévalorisée de ses efforts infructueux à rester secrète. Un silence s’installa. On espérait ne pas entendre des mots sortant de la bouche des étudiantes comme révélation, démasqué, on saura… Finalement ce fut Maîtresse Diane qui le rompit.
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On peut dire que tout ne s’est pas passé comme on l’avait prévu.
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Oui. C’est le minimum que l’on puisse dire, avoua Lady Christine, peu sensible au pléonasme et que la position et le départ de Tata Marguerite semblait avoir le plus touchée.
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Ne devions-nous pas décider comment organiser le planning de notre soumis maintenant, lui remettre sa cage de chasteté, définir les arrangements pour les prochaines séances ? rappela Nathalie.
Elle comprenait bien que ce weekend qui devait servir de départ à une organisation plus contractuelle, ressemblait en cet instant plus à des funérailles.
- Nathalie a raison. Nous verrons comment nous développer plus tard. Nous devons d’abord nous occuper de Lassie.
Si elles pouvaient oublier la cage, cela me conviendrait, même si Nathalie venait de le leur rappeler. La salle s’était vidée, valets et vendeuses étaient partis. Ben, Nathan et Médor restaient en retrait. Ils savaient par expérience ce qui allait advenir et semblaient discuter discrètement de ce qui s’était passé et des conséquences de la démission de ce dernier. Je préférai ma position, malgré l’impression d’être l’enjeu d’un jeu de stratégie qui laisserait, entre Diane et Lucifer, l’un des deux sur le carreau. Je ne croyais pas au statuquo dans une situation ou la haine était si forte.
- Assieds-toi ! m’ordonna Ladyscar alors que je trainais des pieds, tournant en rond devant cette inertie.
Il était dix-neuf heures. Je voulais rentrer à mon appartement, me doucher, m’habiller, dormir, qu’importe l’ordre. Le weekend avait été particulièrement long et les produits commençaient à agir. Pourtant je m’assis, comme hypnotisé par le ton qu’elle employa. Je lui obéis, une fois encore, une partie des médicaments en étant probablement la cause
Lydia était la seule restée avec les trois maîtresses et les deux étudiantes. J’étais au milieu de ces six femmes. Elles s’étaient rhabillées, plus ou moins en fonction de la tenue qu’elles avaient apportée, alors que je restais nu, devant elles. Je profitai de ma position assise et du manque total d’excitation causé par les médicaments pour caler mon sexe et mes boules entre mes cuisses de façon à paraitre encore plus Sissy et espérant secrètement de ne plus à avoir à porter cette cage.
Comme je le pressentais, c’est Maîtresse Diane qui prit la parole.
- Nathalie a raison. Nous ne pouvons le libérer comme cela. J’ai un cadeau pour toi, me dit-elle en appelant Ben qui vint, me tendant une petite boîte agrémentée d’un joli ruban rose.
Je n’avais pas besoin de l’ouvrir pour savoir ce que c’était. Une nouvelle cage de chasteté.
-
Je ne peux pas accepter de cadeau. J’ai été loin d’être parfait durant tout ce weekend. Je suis désolé, tentai-je en rendant la cage à Maîtresse Diane.
-
Le coquin ! balaya-t-elle ma ruse en deux mots. Ouvre-le !
Plus petite que celle de ma maîtresse m’avait donnée la première fois, à peine plus grande que celle que j’avais portée, une grande partie de la journée d’hier, celle-ci ne portait pas de pointes mais des espaces vierges et taraudés tout autour de ladite cage pouvaient probablement en contenir à terme. De plus je trouvais qu’elle avait une forme étrange. Je compris alors qu’en deux jours, j’avais été au-delà de leur espérance pour avoir ainsi sauté quelques étapes, si j’accréditai la théorie de Nathan sur la progressivité décroissante de ces engins.
Devais-je les en remercier ? me demandai-je tandis que ma maîtresse, sans attendre mon approbation ou mon opposition, me l’installait. Tu sais ce que cela veut dire ? me soufflait de nouveau la voix de la raison à mon oreille. Oh oui il sait ! le contredit Lassie.
- Le cadenas possède trois clés, me dit-elle à peine attaché. Une pour moi. Une pour Lydia qui te l’enlèvera avant chaque séance de sport et te la remettra immédiatement après. A qui veux-tu donner la dernière ? dit-elle en se retournant vers les deux étudiantes.
Valérie était un choix idéal. Je trouverai sûrement le moyen de perdre mon pucelage. Elle accepterait que parfois je me douche ou dorme sans, pour me la reposer. Nathalie, me souffla Lassie.
-
Nathalie, me poussa ainsi à dire ma seconde personnalité, celle qui m’immobilisait tandis que Ladyscar remettait sous sa possession.
-
Bien, répondit Ladyscar, heureuse de mon choix.
Elle lui tendit la dernière clef. Nathalie défit son collier et l’y glissa avant de le remettre. Elle le porterait ainsi à tout moment autour de son cou, me montant l’importance qu’elle y consacrait. La clé s’insinua entre ses deux seins et une première poussée de mon sexe, s’imaginant si bien loti, se fit sentir. Douloureuse !
- Bien au chaud, me dit-elle en me la montrant de plus près, dévoilant à nouveau ses seins pour mon plus grand plaisir infernal. Tu n’imagines pas ce que tu devras faire si tu veux la détendre un peu. Et ne comptes pas sur moi pour te l’astiquer.
Le cercle vicieux se mettait en place, la douleur me donnait de l’excitation et cette dernière amplifiait ma douleur. Je remerciai Lisa en pensée de ce qu’elle avait mis dans ce biberon, amoindrissant le tourment que je ressentais. Je doutais, au vu de la taille de cette cage, de pouvoir la garder si longtemps. Combien de temps d’ailleurs ? Elles n’en avaient pas parlé. Je cherchais du regard une réponse mais les corps féminins, autour de moi, ne faisait qu’hisser ce qui devait être contenu, de redresser ce qui ne pouvait qu’être arqué. La cage paraissait plus grande que celle de samedi, mais s’avérait beaucoup plus douloureuse, la forme qui tendait à la retourner contre moi, à la plier en deux.
-
Que proposes-tu pour son éducation ? demanda Lady Christine à Ladyscar.
-
Un weekend par mois de janvier à mai. Un contrat jusqu’à fin mai. En juin, il aura besoin de temps pour réviser ses partiels, expliqua ma maîtresse. Réserve-déjà ceux de Pâques et de l’Ascension, lança-t-elle à mon intention.
Trois jours en avril et quatre en mai, crescendo. Treize jours j’allai leur offrir, calculai-je. Si le programme restait aussi dense que ces deux derniers, je ne finirais pas de le regretter, mais j’acquiesçai, devant l’enchantement extatique de Lassie qui comptait le nombre de coup de cravache cela pouvait représenter.
- Lydia s’occupera de lui deux heures, tous les jeudis midi, poursuivit-elle.
J’opinai en souriant un peu trop vite.
-
Je lui donnerai mes instructions ajouta Ladyscar devant mon visage par trop réjoui.
-
Nous pourrons participer ? demanda Valérie.
-
Bien sûr, leur répondit Lydia.
Elle chuchota quelques mots aux étudiantes. Celles-ci réagirent différemment. Valérie semblait presque inquiète, offusquée peut-être. Nathalie souriait, sa langue glissa entre ses dents. Allons bon ! Que me préparaient-elles ?
- Et nous, quand pourrons nous jouer seules avec lui ? demanda enfin Valérie.
La perte du pucelage n est toujours pas d actualité? Le pauvre… ^^ | |
Il aurait du choisir Valerie | |
Enfin le retour de la cage ! Je ne lis que pour ça ! | |
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